Présentation de vos candidatures

Aujourd'hui j'ai trouvé le courage de tout vous avouer... Sur toute ma vie, du moins des souvenirs qui me sont revenus.
Je suis née un joli jour d'Octoliard, dans la petite maison familiale de la plaine d'Amakna. Des jours heureux et paisibles s'écoulaient. Mon père ce grand homme m'appris à me tenir debout comme une grande, alors que ma mère cette femme très sage m'appris le don de la parole. Quelques mois plus tard, mes deux parents très aimants donnèrent naissance à Ellween ma petite soeur adorée. Mais à partir de ce jour tout allait changer.


I- Le commencement

Un jour mon père reçu une lettre du roi de la cité blanche :

Citation :

Bonta à besoin de vous !

Vous êtes convoqué à rejoindre le champ de bataille dans les landes de Sidimote au plus vite, en cas de désertions vous serez retrouvé et exécuter sur la place publique.
Votre magnifique et dévoué Roi.

Il sortit sur-le-champ, prenant soin de nous embrasser, en nous promettant qu'il reviendrait vite à la maison s'occuper de moi, maman et Ellween. Nous l'avons accompagnés jusqu'au début de la forêt, sa silhouette s'était dissipée dans l'obscurité. En rentrant à la maison maman s'était mise à pleurer, je n'avais pas compris pourquoi à l'époque, pour la consoler ma petite soeur et moi lui avions offert un joli bouquet de pissenlit diabolique. Les semaines passèrent sans aucune nouvelle de notre père, ma mère était toujours dans triste état. Notre grand-mère était venu habiter à la maison, cette veille peau de porkass ! Elle était méchante la dragorkass, un surnom que nous lui avions donné avec Ellween, son haleine était la même que celle d'une dragodinde et son derrière pire que celui d'un cochon de lait ! Elle nous avait punis, car ont avaient mis son Kwak dans la marmite, la punition était de nettoyer la cage du stupide volatil. Maman retrouvait le sourire de jour en jour grâce à nos bêtises, elle créa même de jolies robes pour nous. Les jours devenaient de plus en plus joyeux, et les punitions de plus en plus dur...

Ellween et moi-même étions devenus des jeunes femmes, j'avais choisi d'étudier sur les bancs du temple de la merveilleuse Crâ, Ellween elle s'était plus la déesse Féca. La Dragokass était maintenant morte, peut-être à cause de nos bêtises en même temps Ellween avait mis le feu à la cage de Kwak pour se venger, il lui avait picoré une lettre de son copain de l'époque. Nous avons d'ailleurs mangé le Kwak, quand j'y repense qu'est-ce qu'il était bon. Je ne pensais à ce temps-là qu'à ce magnifique sacrieur, d'une force et d'une beauté, le plus beau de tout le monde des Douze, ensemble nous avons fait beaucoup de choses, la course aux bouftous, la chasse aux tofus, ... Mais malheureusement, il est décédé lors d'une prière à sa déesse. Mais les années étaient passées mais mon père était toujours absent de la maison. Heureusement que maman avait ces deux petites filles.

Un jour un garde de la cité blanche est venu à la maison pour nous dire que notre père était mort au combat, nous l'avons enterré dans le cimetière d'Amakna, non loin de sa mère la Dragoporkass, notre grand-mère sadique et méchante. Et maman a suivi elle a quitté ce monde peu de temps après. Nous étions maintenant seuls, dans cette maison, vide de tout. Ellween est parti vivre avec son copain, me laissant seul. Pour seule compagnie une arakne, qui avait l'air beaucoup plus heureuse que moi. Ma vie devenait une catastrophe. J'avais pris une décision je quittais la maison moi aussi, je pris mes affaires et mis le feu à mes souvenirs devenant une aventurière sans maison, parcourant les champs et forêts, escaladant la montagne des craquelures, c'est alors qu'au sommet, je fis une petite ville, c'était ma nouvelle destination.

Ahh les remparts d'Astrub cette charmante petite ville, ces marchands, sa banque, ces ... débutants ! Je vais me reposer un peu à la taverne, commandant une bière tout en écoutant de mes oreilles pointues les ragots de la cité, certains racontent avoir vu un énorme chêne dans la forêt et d'autres un cochon volant dans le ciel. Je n'avais encore jamais entendu cela et même dans ma profonde campagne. Quand soudain j'aperçois une personne recherchant des guerriers pour être au service de la population. Je n'avais pas vraiment envie de finir comme mon père, mais bon je devais bien me faire un peu de kamas, la vie est peut-être gratuite mais ce qui l'accompagne ne l'est pas. Je décide donc de me présenter, je suis donc devenue une mercenaire, aidant la population. Je gagnais et puissance.

Un jour un jeune aventurier est venu au quartier général des mercenaires en demandant, si nous pouvions retrouver une ancienne relique qu'il lui appartenait, un médaillon qu'une ennemie de son père lui avait dérobé lors d'un combat durant l'une des guerres entre les deux cités de Bonta et Brakmar. Je commençais à chercher dans le cimetière de brakmar, son père était enterré là-bas, sa tombe trouvée, je tentais de trouver des indices sur lui. Mais hélas je n'avais rien trouvé du tout, donc je poursuivais ma quête sur la sombre route de Brakmar, étrangement cela me rappela mon père, oui il avait combattu sur ses terres, sombres et d'une chaleur étouffante. Je ne trouvais que des os, des épées, des flèches et des corps de combattants qui n'avaient pas été ramassés. C'est alors que je repensais à l'enterrement de mon père. Il portait un médaillons sur lui quand nous l'avons enfermé dans sa tombe. Hop un petit tour dans le cimetière d'Amakna. La tombe où mon père et ma mère se trouvent au centre, à côté d'eux il y avait la sorcière de Dragokass. J'ouvris donc la tombe, la peur au ventre, quelle tristesse de voir l'état dans lequel nous finirons tous. Le médaillons était bien là, je l'ouvris donc pour vérifier les dis du client et là une feuille tomba.

* Le clan mercenaire Sollytria : Il n'est pas officiel donc je n'ai pas d'ailes, lien du forum : Clan des Mercenaires Sollytria
* Coeurly : Surnom donné par mes soins à Coeurl (Harder)